Parti tôt de Paris, le dimanche matin 3 janvier, il n'y vait encore guère de monde sur la nationale 4 en direction de Nancy. Pour preuve, les estaminets et les haltes le long de la route étaient encore en sommeil. Rencontre avec des lieux hautement symboliques.

Avant Beton-Bazoche

Après Somessous

Coole, la grande étape

Sans commentaire

Coole, chez Ludo ou chez Bernard

Avant Vitry-le-François