J'ai souvent démontré que les fenêtres et leurs volets sont l'image de notre société. Ainsi les fenêtres forment le pedigree social de l'occupant. Il y a les fenêtres bourgeoises, les baies vitrées des immeubles anonymes, les ouvertures des cabanons, les fenêtres fleuries des fermes, les fenêtres décorées lors d'évènements festifs etc.... Avec l'hiver, on pense à tous ceux qui ne peuvent s'abriter derrière une fenêtre ou l'occulter suffisamment contre le froid. D'où une pensée particulière à toutes ces fenêtres abandonnées qui portent la marque de notre désinvolture.
Toujours des images pleines charme et de poésie...Dommage pour les fenêtre (ou les maisons), mais tant mieux pour l'oeil du photographe !J'aime bien !Amicalement, MS